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Cage de chasteté
Une cage de chasteté est un dispositif utilisé pour emprisonner le pénis et parfois les testicules, rendant impossible l'érection, la pénétration et la masturbation.
Ces cages sont utilisées presque exclusivement comme accessoires sexuels dans le cadre de pratiques de domination/soumission sexuelle,le plus souvent lors de dominations féminines.
Origine
Si les ceintures de chasteté, utilisées pour les femmes, sont apparues dans les temps anciens pour répondre à une problématique sociale (assurer la pureté de la descendance en empêchant tout rapport adultère, contraint ou volontaire), ce n'est pas le cas des cages de chasteté.
Leur invention et leur utilisation sont principalement liées aux pratiques de domination-soumission.
Types de cages
On trouve dans le commerce plusieurs modèles, en cuir, en plastique, ou en métal.
Le choix des matériaux dépend de la sensibilité de l'utilisateur, mais il en conditionne aussi l'utilisation.
En effet, les cages en plastique, notamment, peuvent permettre un port prolongé (de plusieurs jours à... plusieurs mois),
car elles sont résistantes à l'eau et comportent la plupart du temps des orifices pour uriner et faire la toilette intime.
De plus, elles sont indétectables et permettent d'éviter des situations gênantes lors des contrôles d'aéroport.
Domination / soumission
Dans le cadre de ces pratiques, l'homme pourra demander, ou se voir imposer, le port d'une cage de chasteté.
Ces dispositifs étant généralement verrouillés par un cadenas, celui ou celle qui en détient la clé est appelé Keyholder.
L'homme se trouve alors, de fait, placé dans une situation de soumission vis-à-vis du Keyholder.
Celui-ci (ou celle-ci) exige habituellement l'obéissance et le respect de règles précises comme condition de libération temporaire ou définitive.
Les enjeux et les mécanismes :
L'enjeu d'une telle relation est de confier à la femme (ou à un autre homme dans le cadre d'une relation homosexuelle) tout pouvoir sur la jouissance masculine.
Le jeu consiste à maintenir l'homme dans une situation de manque sexuel associé à une provocation fréquente de la part de la femme par stimulation de tous ses sens.
La libération (en fait la jouissance associée à l'éjaculation) ne peut venir qu'à l'initiative de la femme.
Les réactions physiques et mentales sont intenses : au delà d'une sensibilité sexuelle permanente,
le manque peut se manifester physiquement dans l'ensemble du corps sous forme d'un besoin de contact, de fusion avec la femme.
Mentalement, une sensation d'obsession tournée vers elle domine, assez proche de l'obsession lorsqu'on est amoureux et dans l'incertitude.
Cette obsession n'est pas sexuelle mais porte sur l'autre au sens large : tout est bon pour lui plaire, la moindre attention devient un privilège...
Il en ressort une soumission qui n'est pas vécue comme dégradante mais comme privilégiée.
La femme y trouve des responsabilités nouvelles qui ont leur compensation dans le fait d'être placée au centre des préoccupations et des soins de l'homme.
A noter que les réactions mentionnées ci-avant sont en particulier liées à la combinaison de l'abstinence et de l'excitation et que la cage elle-même, au delà de ses dimensions symbolique et contraignante, peut être remplacée par la seule volonté de l'homme, comprise par sa femme,
de lui donner tout pouvoir sur sa sexualité, et plus largement sur son existence.
Sur le fond, il ne s'agit donc pas d'être soumis contre sa volonté mais de s'offrir totalement à l'autre.
En ce sens, la soumission est un acte d'amour partagé.
Autres usages
En dehors des pratiques de Domination / Soumission, d'autres cas d'utilisation sont possibles.
Ainsi, certains utilisateurs indiquent que le port de la cage de chasteté leur a été imposé par leur partenaire,
notamment lors de déplacements ou absences prolongés, suite à une infidélité constatée.
D'autres semblent faire temporairement le choix de la cage de chasteté pour mieux redécouvrir leur partenaire, en dehors de la sexualité.
La dominatrice
J'ai choisie de créer un article, uniquement sur la dominatrice, je connais bien trop peu les " dominateurs" pour en parler ...
Une dominatrice est une femme qui prend le rôle de dominant en pratique sexuelle sado-masochiste. L'équivalent homme (mâle) est un dominant ou maître. Elle n'est pas seulement une femme autoritaire avec son entourage ou dans son couple. Elle sait avant tout tirer parti du potentiel érotique que constitue ce rapport particulier à l'autre, potentiel spontané ou au contraire savamment cultivé.
Description
Si la figure de la dominatrice est principalement investie par les professionnelles en réponse à une demande orchestrée par les clients eux-mêmes, rien n'empêche une femme de dominer son compagnon dans une relation de couple classique, sans en tirer d'autre profit que leur seule satisfaction personnelle.
Ainsi, contrairement à l'idée répandue selon laquelle la domination est obligatoirement une pratique rare, tarifée et entourée d'un luxe d'accessoires et de tenues hors de prix, la plupart des dominatrices officieraient sans se revendiquer comme telles, de fait, dans le secret de leur relation de couple conjugale ou extraconjugale sans publicité, ni donjon, ni tenue particulière
Par ailleurs, si le sadomasochisme reste chez des couples hétérosexuels ou homosexuels un divertissement érotique réversible (switch) dans lequel les rôles sont interchangeables, pour d'autres ces rôles sont naturellement stables et réclament, pour être approfondis, des partenaires appropriés qui ne « trichent » pas avec l'appartenance continue, offerte par l'un ou exigée par l'autre.
« Matriarches » pratiquant en couple clos ou entre couples similaires, « sultanes » aux soumis multiples, « janusiennes » réservant cette facette de leur personnalité à leurs relations extraconjugales,
« relookeuses » obsédées par le travestissement de leur sujet, « éducatrices » qui aiment par exemple imposer des culottes courtes, « frustreuses » qui mettent en scène le cocufiage de leur mari,
« maternelles » qui, s'appuyant sur la différente d'âge réelle ou supposée avec leur partenaire, explorent différents niveaux de régression, etc., constituent autant de tendances et sous-catégories de maîtresses.
Ces dernières, qu'elles choisissent ou non d'appartenir à une communauté spécifique, peuvent rester farouchement attachées à la confidentialité de leur pratique, autant pour protéger leur(s) soumis que pour ne pas être confondues avec d'autres réputées plus opportunistes ou simplement vénales.
Elles préfèrent se retrouver dans de petits cercles avertis très fermés, à l'image du mythique Cercle d'Omphale.
Pratique
Quand un soumis parle à une dominatrice dans le cadre d'une séance préparée, il doit généralement la vouvoyer et/ou l’honorer d’un titre, tel que « maîtresse » (certainement le plus répandu), « madame »,
« déesse » ou autre.
La Maîtresse ou dominatrice se trouve souvent partager les points de vue du féminisme radical et de la suprématie féminine, soit dans la réalité soit dans la sphère du fantasme. Cela peut conduire à d’apparents paradoxes, tels que l’humiliation de l'homme par la féminisation, par l'usage du godemiché porté à l’aide d’un harnais par la femme, ou tout simplement dans la vie du couple par un mode de vie quotidien orchestré sous l'autorité exclusive de cette dernière.
Des pratiques telles que le fétichisme de la lingerie fine, le fétichisme du pied, le cunnilinctus (parfois associé au facesitting) glorifient la féminité. Corrélativement, la masculinité peut être rabaissée : vexation des organes génitaux masculins, humiliations verbales se portant sur la taille prétendument ridicule du pénis, frustration sexuelle répétée déni d’orgasme, port « forcé » d’une cage de chasteté permettant l'exploration de la distance entre les deux sexes et celle de l'incapacité de l'homme à réfréner seul ses pulsions, à atteindre la perfection supposée de sa compagne.
Le facesitting
Le facesitting (de l'anglais « s’asseoir sur le visage » ) est une pratique sexuelle qui consiste à s’asseoir sur le visage de son/sa partenaire.
Dans sa forme la plus simple, le facesitting peut être une simple activité sexuelle permettant la pratique confortable du cunnilingus ou l’anulingus.
Si l'attitude psychologique des partenaires s'y prête, le facesitting peut également être considéré comme une forme de fétichisme sexuel ou même un jeu BDSM.
Dans ce contexte, les partenaires peuvent y adjoindre une forme d’étouffement ou d’écrasement;
certains objets peuvent être utilisés et un partenaire peut être attaché, par exemple.
Cette pratique est aussi très présente chez les Fat Admirers (amateurs de femmes corpulentes),
qui y recherchent soit une sensation d’écrasement extrême, soit une forme d’humiliation.
Bondage
Le bondage (du verbe anglais to bind, lier) est une pratique érotique qui consiste à contraindre, d'une manière ou d'une autre, son/sa partenaire. Le bondage consiste à contraindre le corps dans sa totalité ou en partie, généralement à l'aide de cordes et de bâillons, mais aussi de bande adhésive, de lanières, de chaînes, ou de tout autre ustensile apte à exercer une emprise sur la ou les partie(s) du corps concernée(s). L'immobilisation complète du partenaire n'est pas nécessairement le but. On parlera ainsi de bondage des bras, des jambes, du torse/des seins, de la taille, et ainsi de suite.
Cette forme particulière de sexualité est souvent assimilée à tort au sado-masochisme ou au BDSM, alors que ce sont toutes trois des pratiques bien distinctes. La différence fondamentale est que dans le bondage pur, la contrainte en soi est un but, souvent esthétique (mais pas seulement), alors que dans le sado-masochisme ou le BDSM il s'agit généralement d'un simple moyen, d'un outil parmi d'autres. De plus, dans le bondage pur, on ne retrouve pas les notions de dominant/maître, dominé/soumis/esclave, humiliation/servitude, etc., propres au sado-masochisme et au BDSM. Le bondage peut être considéré comme une pratique érotique à part entière, qui se suffit généralement à elle-même.
La notion de BDSM en particulier intègre par définition le bondage comme l'une de ses pratiques. La réciproque n'est pas vraie : le bondage est intrinsèquement indépendant du BDSM et n'a pas besoin de ce dernier pour exister.
Au Japon, la pratique du bondage se décline sous le nom de Shibari ou Kinbaku ; elle fait partie d'une tradition à la fois historique et artistique.
Histoire
Il est établi que le bondage moderne puise largement ses origines dans la société japonaise, où l'utilisation de la corde sous toutes ses formes date au moins du XVe siècle, et notamment du Kinbaku, un châtiment corporel. Les samouraïs ne pouvaient être entravés que par un spécialiste, le nawashi.
XVe siècle–1560 : La période sanglante de Shinkoku ou le règne de Tokugawa
À cette époque, la société japonaise vécut une période de guerre sombre et tortueuse sous un règne de dictature qui dura jusqu'en 1560. Selon la règle de Tokugawa, en 1542 on promulga un code présentant 4 degrés de torture basée sur la corde pour les criminels. Le premier degré était de se servir de la corde pour fouetter ou flageller, le second était d'attacher une pierre à la corde et de s'en servir comme masse d'arme, le troisième consistait à créer des points de compression infligeant des séquelles graves et irréversibles, et enfin le quatrième était la suspension qui pouvait parfois durer plusieurs jours. Dans les trois derniers degrés, l'issue de la punition était généralement la mort.
Ces méthodes ont pris fin en même temps que les guerres, vers 1560. L'utilisation de la corde comme un outil de torture n'a plus jamais eu lieu depuis. Cependant, plusieurs de ces techniques sont à la base de l'utilisation moderne de la corde sous ses formes érotiques les plus courantes relevant du bondage.
1600–1878 : Période Edo
Après la période sanglante de Shinkoku, une technique appelé hojo-jutsu ou hobaku-jutsu fut développée. Le hobaku-jutsu était un art martial très spécial employé pour attraper et retenir des criminels ou des prisonniers. Une technique précise de l'usage de la corde pour attacher et contraindre un prisonnier a vu le jour. Chaque village avait sa propre méthode.
Un criminel/prisonnier ne pouvait être attaché/suspendu qu'en public, et tout observateur pouvait dire par la façon dont le criminel ou le prisonnier était attaché/suspendu et par le modèle de corde employé, quelle était la classe sociale du criminel/prisonnier, le crime qu'il avait commis, et également parfois l'âge et la profession de la victime.
L'utilisation de la corde comme forme érotique est très floue pendant cette période, et nous n'avons trouvé aucun écrit pouvant clairement nous renseigner sur son usage.
Le bondage moderne
À la fin de la période d'Edo, quelques images érotiques japonaises sont apparues, où l'usage de la corde est enfin représenté. Si cet usage érotique a pu exister avant, on ne le connaît en tout cas dans aucun sens historique : seuls des récits ou des légendes y font allusion.
L'art moderne des jeux de corde n'est pas une pratique de torture comme malheureusement bien des vidéos nous le présentent. Il reste consensuel et ne franchit jamais la limite des deux protagonistes. Il existe aujourd'hui deux grandes écoles, à la fois antagonistes et complémentaires : l'école occidentale (bondage), basée à l'origine sur l'école orientale (Shibari), a développé ses propres techniques et sa propre esthétique. Elle est aujourd'hui la plus répandue, hormis au Japon évidemment.
À titre anecdotique, les policiers japonais modernes portent toujours un morceau de corde sur leur uniforme.
Précautions d'usage
Le bondage est avant tout une relation de confiance entre la personne qui attache (le bondageur dit aussi bondeur(se)/ la bondageuse) et la personne attachée (la bondagette / le bondagé ou bondé(e)). La responsabilité (et même la vie) de la personne attachée est à tout moment entre les mains de la personne qui attache. Si vous êtes cette personne, gardez toujours à l'esprit que du moment que votre partenaire se met volontairement entre vos mains pour être attaché(e), vous en avez sa responsabilité, sa garde, et vous vous devez avant tout d'honorer cette confiance.
Plusieurs accidents graves liés au bondage sont recensés tous les ans. N'oubliez jamais les règles de sécurité élémentaires suivantes :
* Ne laissez jamais une personne ligotée (ou enchaînée) seule, sans surveillance. Si vous pratiquez en solitaire, un certain nombre de règles supplémentaires sont décrites dans les documents relatifs au self-bondage
* Encore plus important, ne laissez jamais seule, pas même un instant, une personne ligotée et bâillonnée. Les étouffements accidentels sont très rares, mais ils peuvent intervenir très rapidement
* Ne passez pas de corde autour du cou. Les risques d'étranglement sont beaucoup trop grands
* Conservez un moyen de défaire les cordes rapidement. Ciseaux (les ciseaux à bandage sont recommandés : ils sont efficaces et comportent une protection destinée à protéger la peau), couteau, et/ou nœuds rapides. Notamment au niveau du torse, des articulations et de certains endroits sensibles, pour éviter les garrots ;
* Prévenez les risques de chute et d'étranglement. Une personne immobilisée faisant une chute en arrière (avec sa chaise, par exemple) risque de se rompre le cou ;
* Les « suspensions » demandent beaucoup de maîtrise. Ne les pratiquez pas si vous êtes débutant ;
* La qualité de la corde est primordiale afin de limiter les risques de brûlure liée aux frottements (préférer la corde naturelle pour les suspensions : la corde restera en place) ;
* N'utilisez jamais de nœuds coulants ! Il faut toujours utiliser des nœuds qui ne glissent pas. Evitez les nœuds dits « queue de cochon », qui glissent (le nœud des lacets de chaussures). Préférez-leur le nœud plat.
* N'insistez pas si votre partenaire exprime une gêne ou de la douleur. Nous ne sommes pas tous égaux devant le bondage. Certaines caractéristiques et limites physiques sont propres à chaque individu. La souplesse est un bon indicateur. À surveiller tout particulièrement : les épaules (risque de déboîtement) et les coudes (si ils ne se touchent pas aisément, ne forcez pas !).
La durée
La durée des séances est très variable, de quelques minutes (positions très strictes et/ou personne attachée débutante) à plusieurs heures d'affilée (positions plus faciles à tenir et/ou personne attachée expérimentée). Dans tous les cas, ne prenez pas de risques inutiles, et pensez à hydrater régulièrement la personne attachée.
Pourquoi des gens aiment se faire ligoter ?
Les personnes qui trouvent érotique de se faire ligoter, le trouvent pour différentes raisons :
* La raison plus souvent citée ou du moins invoquée, est une libération des inhibitions et responsabilités, dans la mesure où les personnes ligotées ont, dans une certaine mesure, confié les clés de leur situation à un tiers. On peut appeler cela un échange érotique de pouvoirs (en anglais : "erotic power exchange"). Le sentiment d'impuissance permet de surmonter l'interdit: la personne attachée ne se sent plus responsable d'avoir commis un acte sexuel. Ce fantasme est fréquent chez les femmes dont l'éducation diabolise la sexualité, ainsi que chez les personnes refoulant leur sexualité
* Pour aviver un fantasme narcissique: la personne ligotée se sent plus désirée qu'à l'ordinaire.
* Certaines personnes apprécient la sensation physique de la contrainte, les sensations, la pression des cordes, l'impossibilité de se libérer malgré les efforts. Ces mêmes personnes apprécient beaucoup plus rarement la brûlure/douleur engendrée par le frottement/morsure de la corde.
* On peut aimer la sensation d'impuissance liée aux tentatives désespérées de rompre ses entraves (liens, chaînes ou bracelets), particulièrement en étant stimulé(e), sensuellement ou sexuellement. Rappelons que la pratique du bondage n'implique pas nécessairement de contact sexuel entre les partenaires.
* D'autres personnes apprécient les jeux de rôle sur des thèmes divers et variés (voleur/kidnappeur et victime/otage, médecin et patient(e), policier et prisonnier(ère), magicien(ne) et assistant(e)...).
* Plus rarement, certaines personnes éprouvent un plaisir provenant de la « mise en danger » symbolique (comme le saut à l'élastique et l'escalade). Ces personnes apprécient l'adrénaline provoquée par des situations potentiellement dangereuses, et orientent naturellement le bondage vers ce type de situations, voire de la dégradation. Cette catégorie est peu nombreuse.
* Ou tout simplement, comme un complément « piquant » aux pratiques sexuelles, pour essayer!
Quelques raisons complémentaires :
* Comme complément à un fétichisme donné (fétichisme des matières comme le cuir, le latex ou le vinyle, fétichisme des dessous, des bas, des talons aiguille, etc.). La géométrie formée par les lignes du bondage sur le corps permet ici de mettre en valeur tel ou telle tenue, tel ou tel accessoire fétichiste.
* Et enfin, des gens peuvent aimer se faire ligoter comme complément à des pratiques sado-masochistes que nous n'aborderons pas ici.
* Un goût pour l'esthétisme du shibari/bondage (argument régulièrement avancé par les femmes attachées et/ou désirant l'être)
Pourquoi des gens aiment ligoter d'autres personnes ?
* Pour donner du plaisir à son/sa partenaire, et pour les stimulations engendrées par le plaisir de son/sa partenaire ; c'est de loin le cas le plus courant et profitable aux deux partenaires.
* Pour la mise en valeur de l'anatomie, la géométrie des formes, l'aspect esthétique du sujet, des liens et de l'environnement (voir les travaux de « Midori » et de son photographe Michael Blue par exemple)
* Pour la soumission érotique de son/sa partenaire, autrement dit un fantasme de possessivité - qui coïncide avec le fantasme d'être excessivement désiré chez la personne attachée.
* Pour le contrôle et le pouvoir provoqués par la « mise en danger » de son/sa partenaire attaché(e). Pour cette catégorie de gens, s'il s'agit de leur seule motivation, il est possible qu'ils aient quelques difficultés à provoquer le plaisir du jeu chez leur partenaire.
* Et enfin, comme complément à d'autres pratiques sado-masochistes.
Pour que le plaisir soit partagé, il est indispensable que la personne qui attache soit constamment à l'écoute de son/sa partenaire. Un bondageur/une bondageuse n'étant à l'écoute que de son propre plaisir ne procurera que très rarement de plaisir partagé, comme bon nombre de « pseudo-bondageurs » que l'on peut trouver par le biais de clubs et de sites internet privés.
Ligoteurs célèbres
En France, le premier témoignage de bondage sont les cyanotypes (ancêtre de la photographie, de couleur bleue) de Charles-François Jeandel (1859-1942), un notable angoumoisin. Ces clichés sont conservés au musée d'Orsay. Ils ont été identifiés grâces aux travaux d'Hélène Pinet dans les années 1990, qui a reconnu des portions d'une toile de Jeandel sur des clichés (Renversements de l'idole Sérapis, 1889, exposée à la mairie d'Angoulême).
Parmi les grands inspirateurs du bondage du XXe siècle, on peut citer John Willie (Adventures of Sweet Gwendoline) ou Eric Stanton.
Citons aussi l'illustrateur japonais Yoji Muku, réalisant de splendides estampes sous différents pseudonymes dont le plus connu est « Jito », l'anglais John Blake, sous le nom de Nawashi Murakawa, Akechi Denki et son assistante Akechi Enka (Shizuka Aoi de son vrai nom), le photographe Nobuyoshi Araki, le dessinateur Richard Laillier et le français Tonton Ficelle dans les années 1970.
Les ligoteurs contemporains les plus célèbres sont essentiellement américains. Ce sont pour la plupart des références au niveau de l'esthétique et de l'innovation. On peut citer notamment Jim Weathers (alias The Weatherman), feu Cory Thompson (alias Mr. T), Jay Edwards, Dominic Wolfe, Jon Woods, Lew Rubens, etc. Et une femme en particulier : la célèbre Lorelei (alias Kristine Imboch), pour l'ensemble de son travail et sa contribution à la démocratisation du bondage. On se souviendra également de la célèbre pin-up américaine Betty Page mise en scène dans multiples photos et bandes dessinées.
Lire les commentaires textes
j'ai ajouté un article, je vous invite a le lire. joyeuses fetes de fin 2009 a vous LadyHeather
En moyenne je me masturbe 2 fois par jour.
Souvent davantage, quelque fois moins, c'est en fonction de ma libido du moment.
Sauf que depuis que je n'ai plus l'autorisation de me masturber sans votre accord, j'en ai constamment envie. Ma libido est dans une période de haut niveau de désir, et la privation rend mon sexe plus sensible, ce qui éveille souvent du désir parfois simplement en marchant, ou avec le frottement des draps… de plus mes pensées sont souvent tournées vers vous, quand je regarde dans mon portable si j'ai des messages (réception éventuelle d'un ordre imprévu), ou quand je vois une pince a linge (suite a votre ordre de m'en placer une sur chaque téton l'autre soir). Autrement dit je suis constamment excité. Et je ne peux satisfaire ces envies. Je me surprend régulièrement a m'agiter sur mon fauteuil, a me trémousser parce que mon gland me procure du plaisir simplement en bougeant dans mon boxer. J'espère qu'un jour vous m'ordonnerez de m'affubler d'une cage de chasteté, c'est mon fantasme du moment, dommage que j'ai une copine vous l'aurais déjà proposé sinon. Cependant il est possible d'imaginer que j'en reçoive l'ordre en cas de séjour a distance de ma copine, pendant des vacances ou des week-ends par exemple, ou pendant des semaines ou je travaille de nuit. Cependant il est vrai que la possibilité de vous laisser les clefs semble peu réalisable. Mais vous savez bien que j'attendrais votre autorisation pour accéder a la liberté.
A votre service,
Pacific77.
tout d'abord j'invite les gens a voir l'article sur mon blog a propos de cage de chasteté.
j'adorerai qu'un jour lors d'une soirée a deux, elle m'entraine dans un coin discret, apres m'avoir chauffé, qu'elle me laisse croire qu'on va faire un calin, caché dans un coin, qu'on s'écarte des gens, qu'elle glisse sa main sous mon T-shirt, m'excitant alors au plus haut point, mon sexe tire dans mon jean, elle passe sa main sur la bosse de mon pantalon, j'ai envie d'elle, je colle mon corps au sien, j'ai envie d'elle, je veux la lecher, l'embrasser, mais surtout la pénétrer...
elle s'agenouille devant moi, je pense qu'elle va m'honorer, elle libere mon sexe en baissant mon pantalon, mon boxer, elle me caresse la verge, je ferme les yeux je n'en peux plus, j'attends la libération, elle se redresse, ses mains me font éjaculer, elle me lache, m'embrasse dans le cou, je sens mon sexe se relacher, quand ses mains le saisissent, elle se remet a genoux devant moi, je ne sais pas ce qu'elle fait...
c'est une cage a sexe.
elle m'en a mis une, ele me regarde, elle sourit de me voir realiser, la surprise sur mon visage.
elle s'avance, et me promet de me laisser attendre longtemps, me conseille d'etre un bon serviteur si je veux a nouveau pouvoir jouir.
puis elle m'abandonne la, a moitié nu.
et dire que c'est elle qui m'avait demandé de lui acheter ca il y a quelques temps, je ne l'avais pas oublié cette cage, mais je ne m'y attendais plus vraiment non plus.
je lui ai offert ma totale soumission, car dans cette cage je vais vraiment pas avoir le choix.
je serais a elle.